Lexique...
Traditionnellement, elle est servie en début de repas. Il s'agit d'un bouillon clair où flottent des ingrédients de saison en petite quantité. Même pour cette "mise en bouche", l'aspect esthétique est primodial. Ainsi, la soupe miso n'a que peu de valeur nutritionnelle, mais ouvre agréablement l'appétit.
Une sorte d’hybride de sushi et de sachimi. Des tranches de poisson cru (saumon, thon, daurade) viennent napper un bol de riz vinaigré. Ce plat rencontre plus de succès à l’étranger qu’au Japon même.
Ce mode de cuisson concerne aussi bien les légumes que la viande et les fruits de mer. Il s'agit de beignets frits légers, inventés au XVI ème siècle à partir de recettes de mets frits rapportés par les navigateurs et missionnaires portugais. Le légumes, la viande ou le fruit de mer est trempé dans une pâte appelée Koromo.
La feuille de nori autour des makis n’étant pas très appréciée aux Etats-Unis (elle est jugée difficile à mâcher), les maîtres-sushi locaux ont donné naissance aux california rolls, inexistants au Japon, sortes de makis «inversés», où le riz entoure les ingrédients et la feuille de nori.
Racine japonaise servant de condiment. Présentée sous la forme d'une pâte verte, elle accompagne les sushis, makis et sashimis.
Assortiment, présenté avec art, dans une assiette laquée, ronde ou carrée, des tranches de poissons crus et marinés dans le vinaigre, des légumes assaisonnés, de l'omelette, ...
Yaki désigne ce qui est grillé et tori désigne le poulet. Les yakitori sont des brochettes de poulet grillées (cuisses, ailerons ou boulettes).
Maki d’un diamètre plus important, contenant différents ingrédients : avocat, œufs de saumon, poisson cru, concombre, gambas etc.
Le Sashimi existe dans la cuisine japonaise depuis le XV ème siècle. Il sagit de fines tranches de poisons de première fraîcheur. préparées avec soin ; elles sont de la taille d'une bouchée.
Maki d’un diamètre plus important, contenant différents ingrédients : avocat, œufs de saumon, poisson cru, concombre, gambas etc. Le Maki est arrivé beaucoup plus tardivement. La feuille d’algue extérieure (Nori) empêchant le riz de se dessécher, il a d’abord été inventé pour se conserver dans le temps. Ce long rouleau de riz enveloppé ne se coupait qu’au moment de la dégustation (en petites tranches telles qu’on les voit aujourd’hui au restaurant).
Ce procédé ancestral (initialement utilisé au 2ème siècle) visait à conserver le poisson en le mélangeant à du riz fermentant souvent jusqu’à un an. Seul le poisson était alors consommé. Ce n’est qu’au 17ème siècle que les habitants d’Edo (devenu Tokyo par la suite) eurent l’idée de rajouter du vinaigre de riz pour accélérer le processus de fermentation. Les gens prirent goût de cetteassociation riz- vinaigre- poisson : Ainsi naquit le Sushi.